Victime touchée au thorax et à la jambe, auteur recherché... Ce que l'on sait de l'agression au couteau commise à Issoire
Ce dimanche 3 novembre, à 19 h 10, un septuagénaire a été victime d'une agression à l'arme blanche, avenue de la Libération, à Issoire. Une enquête a été ouverte par le parquet de Clermont-Ferrand, et confiée aux gendarmes de la brigade de recherches (BR) d'Issoire, pour déterminer les circonstances exactes de cette attaque.
La victime transportée au CHULa victime âgée de 78 ans, qui présentait plusieurs plaies au thorax et à une jambe, a été prise en charge par les sapeurs-pompiers et l'équipe médicale du Smur, avant d'être transportée en urgence au CHU de Clermont-Ferrand. Ce lundi 4 novembre, ses jours ne seraient plus en danger. Son épouse, très choquée, n'a pas été blessée. Quant à l'auteur des faits, il a pris la fuite.
Un homme agressé au couteau à Issoire
"Un acte gratuit et ignoble"Ce que l'on sait : après avoir quitté la Halle aux grains où le Rotary club d’Issoire organisait un grand loto, le couple rejoignait son domicile à pied. Les septuagénaires avaient d'ailleurs remporté des lots au cours de l'après-midi. C'est avant d'arriver chez eux, à l'angle de l'avenue de la Libération et de la rue de l'Union, que l'agression s'est produite. "Mes pensées vont en premier lieu aux victimes, notamment à la personne blessée, suite à cet acte gratuit et ignoble", a déclaré Bertrand Barraud, maire d'Issoire.
Le motif de l'agression inconnuÀ ce stade de l'enquête, le motif est relativement flou. Selon nos informations, aucun vol n'aurait été commis lors de l'agression. Les enquêteurs de la brigade de recherches d'Issoire poursuivent leurs investigations en collaboration avec les différents services de la gendarmerie locale afin d'en savoir davantage sur les circonstances précises de l'attaque. Les techniciens en identification criminelle (TIC) de Clermont-Ferrand, ont également procédé aux relevés sur place. Les recherches lancées par les forces de gendarmerie pour retrouver l'auteur des faits sont, pour le moment, restées vaines.
David Allignon