Cité scientifique : pour suivre les cours magistraux, des milliers d’étudiants délocalisés
«Ce n’était pas une très bonne rentrée, soupire Antoine, 19 ans du Douaisis. Il faudra que je m’habitue à l’université.» À cette ambiance «différente qu’en école». Et à cet emploi du temps particulier où «je jongle entre différents sites pour suivre les cours magistraux».Hugo, Espagnol, qui prépare le concours d’accès aux études médicales, aurait aimé disposer «d’une carte sur papier pou...