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Touche, mêlée, rucks, Bosch: retour sur les tops et les flops lors de la victoire de Brive à Soyaux

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«On a maîtrisé notre rugby par moments. À d’autres, sous pression, on a fait des fautes. On manque encore de rigueur », posait hier soir après coup Pierre-Henry Broncan. On revient sur les tops et les flops de Brive lors de son succès 28-25 à Soyaux.

Les tops

La touche. C’est désormais une habitude, la touche briviste survole les débats avec Marais, Lawes et Moriarty. Cela a encore été le cas hier soir avec des talonneurs impeccables au lancer, que ce soit Da Silva ou Boudou. Une seule touche perdue (15/16), en seconde période, sur un écran, c’est plus qu’acceptable.

La touche défensive briviste a aussi été précieuse, notamment lorsque cela a commencé à chauffer sévère dans les 20 dernières minutes. Lawes, à deux reprises, puis Maximin, ont déployé toute leur envergure pour venir pourrir trois lancers charentais.

La mêlée. Dans ce secteur essentiel de la conquête, Brive a encore montré de solides garanties, même si le staff a changé la première ligne dès la pause « en prévision de la réaction de Soyaux en seconde période ».

Le jeu au pied des trois-quarts. Que ce soit Zenon à l’arrière, Dridi sur son aile ou Carbonneau à la mêlée, les trois-quarts brivistes ont eu de la longueur au bon moment pour sortir de la pression angoumoisine.

Les flops

La discipline. Après le match contre “Oyo”, Broncan pestait que ses joueurs ne connaissaient pas le règlement. Ils vont devoir encore le bosser, notamment sur les phases de jeu au sol où même l’expérimenté Lawes s’est fait prendre à plusieurs reprises par la patrouille. Il y a aussi le carton jaune de Warren-Vosayaco. Fraissenon a aussi été plusieurs fois à la limite mais est passé à travers les mailles.

Bosch en faillite. Comme contre Oyonnax, Curvin Bosch termine sur un petit 3 sur 7 face aux perches. Des points qui ont forcément manqué et qui ont empêché Brive de tuer le match.

A Soyaux, Pascal Goumy