Un casse-croûte géant en plein air à Clermont-Ferrand ce samedi 24 août

Sur les réseaux, Anthony est "L'amijoteur", un passionné "de cuisine et de communication", comme il dit. Ce Clermontois, cuisinier amateur et créateur de contenus numériques, est à l'origine du casse-croûte géant en plein air qui sera organisé ce samedi 24 août, rue Saint-Genès à Clermont-Ferrand, de 11 heures à 16 heures.

Pain cuit sur place 

Entre la boucherie Durif et la Cave du Barbu, sur le même trottoir (avec trois places de parking réquisitionnées), des tables seront dressées pour servir des focaccia buns imaginés par Anthony et composés de  pain cuit sur place, pesto maison, sauce façon straciatella, smash saucisse au fenouil, salade. Pour 10 euros, 15 euros avec le dessert, un tiramisu, maison lui aussi,  servi à la louche. Le tout accompagné d'un verre de vin (ou d'une bouteille en fonction du nombre de convives).

Bientôt un nouveau restaurant dans le quartier de la gare de Clermont-Ferrand

Entre 90 et 100 focaccias seront préparés, servis entre 11 heures et 13 heures sur cette rue située à deux pas de la place de la Victoire. Des places assises peuvent être réservées directement auprès de la Boucherie Durif au 04.73.91.36.11 ou par mail à boucheriedurif@gmail.com.

L'idée est venue d'un rituel que nous avions avec Loïc, de la Cave du Barbu, explique Anthony : régulièrement nous nous retrouvions pour un casse-croûte. Je cuisinais, il apportait le vin. Je filmais et postais sur les réseaux. Puis nous nous sommes dit que ce serait bien de cuisiner pour les gens.

Le casse-croûte géant est ainsi né. A en croire Anthony qui,  sur son compte Instagram, compte quelque 8.000 abonnés, cette première devrait en appeler d'autres...

    Voir cette publication sur Instagram           

 

"Plus qu’un simple repas, ce casse-croûte géant est une célébration du savoir-faire local et de la culture gastronomique de la région", insistent les initiateurs, Anthony, Lucas (de la boucherie Durif) et Loïc, qui ont aussi fait appel à  leurs voisins d'en face pour les légumes.

Véronique Lacoste-Mettey