Bonnes pratiques agricoles : Les ICS forment 900 agriculteurs
Les industries Chimiques du Sénégal (ICS) lancent un programme ambitieux de formation destiné à renforcer les capacités des agriculteurs dans les régions. Ce programme, selon une note, est initié par le Département Développement Durable et Communication des ICS en collaboration avec l’Alliance sénégalaise pour le consommer local (ASCL) et l’Agence nationale de conseil agricole et rural (ANCAR), sera d’abord implémenté dans l’arrondissement de Meouane.
Il vise à combattre la crise agricole actuelle en améliorant les pratiques agricoles et en introduisant des techniques innovantes. L’agriculture, pilier économique du Sénégal, traverse une période critique marquée par une baisse de la production due à divers facteurs tels que le changement climatique, les pratiques agricoles inadéquates et la vétusté des équipements. Pour répondre à ces défis, le programme se concentrera sur la formation des producteurs sur plusieurs aspects clés : la fertilisation et l’utilisation des engrais, les techniques de pépinières, la protection des cultures, l‘irrigation innovante et la gestion de l’eau, etc…
À l’issue des sessions de formation, les participants seront outillés pour appliquer ces connaissances dans leurs pratiques quotidiennes. Les bénéficiaires directs comprennent les agriculteurs et les groupements de femmes des communes de Darou, Mboro, Taiba NDIAYE et Meouane, soit environ 1200 participants au total.
D'après le communiqué, ce programme adopte une approche participative et pédagogique, animée par des agronomes expérimentés et des conseillers agricoles. Les sessions comprendront à la fois des éléments théoriques et pratiques, avec des démonstrations sur le terrain dans des champs écoles. 900 agriculteurs seront formés aux bonnes pratiques agricoles, 8 GIE, 150 femmes seront également formées aux activités génératrices de revenus.
Les Groupements d’Intérêt Économique (GIE) jouent un rôle essentiel dans le développement des cultures et l’agriculture locale, en se spécialisant chacun dans des secteurs spécifiques et en optimisant leurs capacités de production.
L’Union des producteurs maraichers pour le renouveau de l’agriculture (UPMRA), avec ses quatre secteurs—Darou, Darou Mboye, Meouane, et Taiba Ndiaye—se concentre principalement sur le maraîchage. Ils cultivent la pomme de terre, avec un rendement impressionnant de 25 tonnes par hectare, et l’arachide, qui donne un rendement de 889 kg par hectare.
À l’issue des sessions de formation, les participants seront outillés pour appliquer ces connaissances dans leurs pratiques quotidiennes. Les bénéficiaires directs comprennent les agriculteurs et les groupements de femmes des communes de Darou, Mboro, Taiba NDIAYE et Meouane, soit environ 1200 participants au total.
D'après le communiqué, ce programme adopte une approche participative et pédagogique, animée par des agronomes expérimentés et des conseillers agricoles. Les sessions comprendront à la fois des éléments théoriques et pratiques, avec des démonstrations sur le terrain dans des champs écoles. 900 agriculteurs seront formés aux bonnes pratiques agricoles, 8 GIE, 150 femmes seront également formées aux activités génératrices de revenus.
Les Groupements d’Intérêt Économique (GIE) jouent un rôle essentiel dans le développement des cultures et l’agriculture locale, en se spécialisant chacun dans des secteurs spécifiques et en optimisant leurs capacités de production.
L’Union des producteurs maraichers pour le renouveau de l’agriculture (UPMRA), avec ses quatre secteurs—Darou, Darou Mboye, Meouane, et Taiba Ndiaye—se concentre principalement sur le maraîchage. Ils cultivent la pomme de terre, avec un rendement impressionnant de 25 tonnes par hectare, et l’arachide, qui donne un rendement de 889 kg par hectare.