Le chanteur Raphaël illumine le Pré Madame, à Riom, pour la dernière soirée des Frénésies 2024
L’ambiance était au rendez-vous ce mercredi 31 juillet, pour cette dernière soirée des Frénésies 2024. Dans la chaleur de la nuit, les fans et les curieux se sont enchantés devant le show des artistes en profitant des stands, pour conclure ce mois de festival comme il se doit.
La première partie, animée par Baptiste Ventadour, a chauffé la foule avec des mélodies entêtantes, pleines de douceur et de positivité. La foule s’est ensuite amassée pour accueillir le clou du spectacle : Raphaël. Le public a repris en chœur les tubes de l’artiste : Caravane, Et dans 150 ans, Ne partons pas fâchés…
Avant Raphaël, c'est le jeune Benjamin Ventadour qui est monté sur scène pour chauffer la foule.
Il a aussi joué ses titres les plus récents extraits de son dernier album Une autre vie, pour convaincre aussi ses fans nés de la dernière pluie. Sous une chaleur étouffante, les spectateurs, venus en famille, entre amis ou en amoureux ont bougé la tête, dansé et chanté les paroles du chanteur parisien par cœur, un véritable vent de nostalgie pour les aficionados de l’artiste.
Le chanteur, dont la carrière a décollé en 2006, avec la sortie de son album Caravane, a su embarquer la foule dans son univers rempli de textes poétiques et de mélodies mélancoliques.
Le pré Madame était comble pour cette clôture des Frénésies.Un show qui a fait le plein au Pré Madame
C’est en nombre que les Riomois sont venus profiter de cette soirée musicale. Raphaël est donc l’apothéose d’un mois de folie à Riom, riche en musique et en émotions. Ces Frénésies 2024 auront animé une grande partie de l’été, au plus grand plaisir des chanceux qui ont pu en profiter pour découvrir différents styles musicaux.
De la folk au rock en passant par les sonorités cubaines, c’était un régal pour les amoureux de musique. Après l’évènement Superbus, Raphaël a été l’autre attraction phare de cette seconde édition du festival gratuit. Rien de mieux pour clôturer les Frénésies, tout en tendresse et en poésie.
Texte Mathias Bernouin
Photos Francis Campagnoni