Gestion des Ressources Humaines à l'ACBEP: Une Situation Préoccupante
Le récent rapport de la Cour des Comptes met en lumière des pratiques alarmantes au sein de l'Agence de Construction des Bâtiments et des Édifices Publics (ACBEP) pour les exercices 2017 à 2021. Des lacunes importantes dans la gestion des ressources humaines et financières sont mises en évidence, soulevant des questions sur la transparence et l'efficacité de l'organisation.
La Cour des Comptes a formulé plusieurs recommandations clés, notamment à l'intention du Directeur général, pour remédier à ces problèmes. Il est notamment demandé de prendre des mesures concernant les actes de nomination des agents affectés à des postes spécifiques, ainsi que de mettre fin au paiement d'indemnités forfaitaires globales jugées indûment perçues par certains membres du personnel.
Une autre problématique soulevée concerne le recours irrégulier aux prestataires de service. Bien que ces prestataires soient censés fournir des services spécifiques sans créer de lien de subordination avec l'organisation, il apparaît qu'ils travaillent souvent comme des agents permanents, sans justification claire de cette pratique.
De plus, le recrutement de stagiaires sans lien avec leur formation d'origine suscite des inquiétudes. Les contrats de stage sont signés pour des postes qui ne correspondent pas toujours au domaine d'études des stagiaires, en violation des règles établies.
Enfin, la Cour souligne un déséquilibre significatif dans la répartition du personnel, avec une forte proportion d'agents administratifs par rapport au personnel technique nécessaire pour superviser les projets de construction. Cette situation met en évidence un besoin urgent de rééquilibrage des ressources humaines au sein de l'ACBEP pour assurer une efficacité optimale.
Ces révélations soulignent l'importance d'une gestion transparente et efficace des ressources humaines et financières au sein des organismes publics, et appellent à des mesures correctives immédiates pour garantir une utilisation responsable des fonds publics et des effectifs.
La Cour des Comptes a formulé plusieurs recommandations clés, notamment à l'intention du Directeur général, pour remédier à ces problèmes. Il est notamment demandé de prendre des mesures concernant les actes de nomination des agents affectés à des postes spécifiques, ainsi que de mettre fin au paiement d'indemnités forfaitaires globales jugées indûment perçues par certains membres du personnel.
Une autre problématique soulevée concerne le recours irrégulier aux prestataires de service. Bien que ces prestataires soient censés fournir des services spécifiques sans créer de lien de subordination avec l'organisation, il apparaît qu'ils travaillent souvent comme des agents permanents, sans justification claire de cette pratique.
De plus, le recrutement de stagiaires sans lien avec leur formation d'origine suscite des inquiétudes. Les contrats de stage sont signés pour des postes qui ne correspondent pas toujours au domaine d'études des stagiaires, en violation des règles établies.
Enfin, la Cour souligne un déséquilibre significatif dans la répartition du personnel, avec une forte proportion d'agents administratifs par rapport au personnel technique nécessaire pour superviser les projets de construction. Cette situation met en évidence un besoin urgent de rééquilibrage des ressources humaines au sein de l'ACBEP pour assurer une efficacité optimale.
Ces révélations soulignent l'importance d'une gestion transparente et efficace des ressources humaines et financières au sein des organismes publics, et appellent à des mesures correctives immédiates pour garantir une utilisation responsable des fonds publics et des effectifs.