Office National de Lutte contre la Fraude et la Corruption : les six piliers du Rapport 2023
Le rapport de Office National de Lutte contre la Fraude et la Corruption (OFNAC) est organisé en six parties. Selon la note introductive, elle entend rendre compte de toutes ces réalisations comme le commande l’exigence de reddition de comptes qui s’impose à toutes les institutions dans un contexte de promotion d’une administration ouverte, accessible et communicante.
Au cours de l’année 2023, l’Office National de Lutte contre la Fraude et la Corruption (OFNAC) a démontré une grande détermination dans sa mission de combattre la corruption sous toutes ses formes.
Dans ce cadre, il a intensifié ses efforts de prévention en sensibilisant la population aux dangers de la corruption et en encourageant la dénonciation des actes frauduleux.
Des campagnes de sensibilisation ont été lancées à travers certaines régions, impliquant des partenariats avec des médias locaux et nationaux pour toucher un large public.
En parallèle, l’Office a renforcé ses capacités d’investigation, ce qui a permis de mener à bien plusieurs enquêtes dont certaines ont fait l’objet d’une saisine de l’autorité judiciaire compétente pour suite à donner.
Par ailleurs, l’Office a travaillé en étroite collaboration avec d’autres organismes nationaux et internationaux dans le cadre de la lutte contre la corruption.
Des partenariats ont été établis avec des organisations de la société civile et des missions de benchmarking conduites auprès d’agences de lutte contre la corruption d’autres pays, permettant ainsi un échange de bonnes pratiques et un renforcement de la coopération inter - agences.
Le présent rapport, organisé en six parties, entend rendre compte de toutes ces réalisations comme le commande l’exigence de reddition de comptes qui s’impose à toutes les institutions dans un contexte de promotion d’une administration ouverte, accessible et communicante.
La première partie fait le point sur l’état d’avancement de projets stratégiques engagés depuis le début de l’année. Il s’agit, notamment, de l’élaboration d’un nouveau plan stratégique pour les trois prochaines années (Chapitre 1), de l’élaboration d’une Stratégie de prévention et de communication (Chapitre 2) et de la création d’une Académie nationale anti – corruption (Chapitre 3).
La deuxième partie rend compte des activités réalisées en matière d’investigation. Celles-ci concernent le Bureau des Plaintes et Dénonciations (chapitre 1) et le Département Investigations (chapitre 2).
La troisième partie fait le bilan des activités de prévention qui concernent essentiellement le Département Déclaration de Patrimoine (chapitre 1) et le Département Prévention (chapitre 2).
Dans la quatrième partie sont présentées les activités de renforcement de capacités initiées par l’Office ainsi que celles auxquelles il s’est fait représenter par des collaborateurs divers (chapitre 1). Elle traite aussi de la coopération internationale et des missions de benchmarking conduites à l’étranger (chapitre 2).
La cinquième partie est relative à la Stratégie nationale de Lutte contre la Corruption (SNLCC). Elle rend compte de la tenue de la deuxième session du Comité technique de Suivi – évaluation de ladite stratégie et des difficultés relevées dans la mise en œuvre de celle-ci.
La sixième et dernière partie récapitule les recommandations de portée générale ainsi que celles issues des activités d’enquête initiées dans le courant de l’année.
Dans ce cadre, il a intensifié ses efforts de prévention en sensibilisant la population aux dangers de la corruption et en encourageant la dénonciation des actes frauduleux.
Des campagnes de sensibilisation ont été lancées à travers certaines régions, impliquant des partenariats avec des médias locaux et nationaux pour toucher un large public.
En parallèle, l’Office a renforcé ses capacités d’investigation, ce qui a permis de mener à bien plusieurs enquêtes dont certaines ont fait l’objet d’une saisine de l’autorité judiciaire compétente pour suite à donner.
Par ailleurs, l’Office a travaillé en étroite collaboration avec d’autres organismes nationaux et internationaux dans le cadre de la lutte contre la corruption.
Des partenariats ont été établis avec des organisations de la société civile et des missions de benchmarking conduites auprès d’agences de lutte contre la corruption d’autres pays, permettant ainsi un échange de bonnes pratiques et un renforcement de la coopération inter - agences.
Le présent rapport, organisé en six parties, entend rendre compte de toutes ces réalisations comme le commande l’exigence de reddition de comptes qui s’impose à toutes les institutions dans un contexte de promotion d’une administration ouverte, accessible et communicante.
La première partie fait le point sur l’état d’avancement de projets stratégiques engagés depuis le début de l’année. Il s’agit, notamment, de l’élaboration d’un nouveau plan stratégique pour les trois prochaines années (Chapitre 1), de l’élaboration d’une Stratégie de prévention et de communication (Chapitre 2) et de la création d’une Académie nationale anti – corruption (Chapitre 3).
La deuxième partie rend compte des activités réalisées en matière d’investigation. Celles-ci concernent le Bureau des Plaintes et Dénonciations (chapitre 1) et le Département Investigations (chapitre 2).
La troisième partie fait le bilan des activités de prévention qui concernent essentiellement le Département Déclaration de Patrimoine (chapitre 1) et le Département Prévention (chapitre 2).
Dans la quatrième partie sont présentées les activités de renforcement de capacités initiées par l’Office ainsi que celles auxquelles il s’est fait représenter par des collaborateurs divers (chapitre 1). Elle traite aussi de la coopération internationale et des missions de benchmarking conduites à l’étranger (chapitre 2).
La cinquième partie est relative à la Stratégie nationale de Lutte contre la Corruption (SNLCC). Elle rend compte de la tenue de la deuxième session du Comité technique de Suivi – évaluation de ladite stratégie et des difficultés relevées dans la mise en œuvre de celle-ci.
La sixième et dernière partie récapitule les recommandations de portée générale ainsi que celles issues des activités d’enquête initiées dans le courant de l’année.