Près de Damas, des Palestiniens se remémorent les exactions subies du temps d'Assad
Dans une salle de classe du camp de réfugiés palestiniens, le plus grand de Syrie, les derniers cours remontent au 18 octobre 2012, à en croire la date écrite au tableau. "Je joue au football", "Elle mange une pomme", "Les garçons font voler un cerf-volant", peut-on lire en anglais. Dehors, les rares enfants résidant encore dans cette banlieue de Damas, habitée par plus de 160.000 personnes avant 2011, selon l'ONU, jouent au milieu des ruines laissées par les plus de 13 ans de guerre. Créé dans... Читать дальше...