Omniprésente, la terreur de la guerre, mais aussi la vengeance et la passion, sont le fil rouge de ce mélodrame qui s'inspire de la pièce espagnole "Don Alvaro ou la force du destin", écrite par Angel Perez de Saavedra en 1835.
A la baguette, Riccardo Chailly relève que l'opéra est "terriblement d'actualité avec ses images de la guerre". Selon lui, "l'oeuvre part de la guerre au 18e siècle pour arriver après plus de trois heures de musique aux conflits d'aujourd'hui".
Temps fort de la vie culturelle italienne... Читать дальше...