Au XIXe siècle, on ne s’embarrassait pas de politiquement correct, si l’on en croit ce mauvais trait d’esprit de Balzac, inimaginable aujourd’hui : "J’ai travaillé comme un nègre, ou comme un Dumas." Le génie stakhanoviste imbibé de caféine n’était pas plus tendre envers Sainte-Beuve : "Les poésies de M. Sainte-Beuve m’ont toujours paru être traduites d’une langue étrangère par quelqu’un qui ne connaîtrait cette langue qu’imparfaitement." Encore plus cocasse, sa brouille avec son ex-ami Eugène Sue. Читать дальше...