"Quelque chose a changé, l’air semble plus léger", murmurait Emmanuel Macron au lendemain des Jeux olympiques, citant Barbara. Incontestablement, le camp démocrate américain, réuni du 19 au 22 août à Chicago, aurait pu enchaîner les couplets de la chanson. "On pourrait encore y croire. Il suffit de le vouloir. Avant qu’il ne soit trop tard." Trop tard ? "Non !", a rugi Kamala Harris, la nouvelle fusée politique, celle qui, il y a encore quelques semaines, était perçue comme une piètre vice-présidente. Читать дальше...