Vendredi 14 juin, la garden-party des anciens élèves de Sciences Po finit dans le sang. En fait, de la peinture rouge jetée à l’entrée des locaux ultramodernes de la place Saint-Thomas d’Aquin, dans le VIIe arrondissement de Paris, où certains invités y sont accueillis aux cris de "fascistes" par un petit groupe de militants se réclamant du comité Palestine de l’établissement. Dans les jardins, une dizaine d’étudiants, munis du ticket d’entrée à 40 euros et grimés de masques chirurgicaux dissimulant leur visage... Читать дальше...